truculence et n'importequoi

Wahou! Petite poussée d'adrénaline à la veille de ma rentrée professionnelle. Quelle merde! J'aurais bien tapé un mois de vacances avant quand même.

Mais le travail a ses raisons que personnellement j'ignore. Et dussè-je en crever la gueule ouverte j'accomplirai ma mission vaille que vaille et croute que croute. Maintenant à la fin de la semaine je vais pouvoir jouir d'un week end prolongé dont la simple évocation suffit à allumer en moi des images de bonheurs vécus. Mais cinq jours m'en séparent et travailler dans les barbelés ne me réjouit guère.

Merde j'ai raté ma vocation. J'aurais du être peintre à la montagne, dans un grand chalet de préférence au pied des pistes. Avec un gros vivarium rempli des crapauds les plus diverses et au effets les plus fous, fondants sous la langue. Mais non. Je taffe d'un autre coté c'est déjà ca. Combien en rêvent? Eh ben continuez de rêver les enfants! Échangerait travail à Massy contre place de SDF à la martinique. Voila c'est dit c'est fait.

Maintenant j'ai pas encore testé donc je dirai pas que j'aime pas mais je sens que ca va pas me plaire quand même. Je sens que ma prochaine page je vais l'écrire en live from da taff, mais pas tout de suite vu qu'on m'a promis une suractivité qui friserait sûrement le surmenage. Alors peut être pendant le quart d'heure de pause que j'aurais pour engloutir un sandwich je pourrai m'adonner à l'e-redaction... peut être. Bouuuuhou je veux pas y aller. Je me retire le coeur lourd, mais pas trop quand même parcequ'entre temps on m'a dit des choses qui m'ont ravi, beau salaire a la clef... Enfin bref je me casse je sens que je commence à partir en boucle.
A plus les pollux!

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