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qui lit encore des poemes? pfff!
Recueil de poemes intellectuels...
Je déménage
Chez moi y'a des cartons
Pas ouverts d'puis cinq ans,
Remplis d'pleins d'trucs cons
Et de cours d'y a longtemps.
Mais bientôt j'vais partir
Pour des coins plus sympas
Et n'jamais revenir
Dans un endroit comme ça.
Je deballerai mes caisses,
J'en chasserai les cafards,
Celebrant ma grand messe
Dans mon nouveau foutoir.
J'aurai d'la place pour vivre,
D'l'espace pour respirer,
Un endroit quand j'suis ivre,
Voire même un pour baiser.
Reste à trouver l'argent
Pour me payer tout ça
Alors j'appelle maman
Ou j'écris à papa.
Je m'épanouis
En amour j'ai pas de chance ;
J'ai la main toute usée,
J'aurais du quand j'y pense
Un peu plus assurer.
Mais j'n'arrive à lever
Que quand j'ai beaucoup bu,
J'suis vraiment un mauvais
Et d'aucun disent que j'pue.
Dès que j'tente une approche
Elles partent en courant :
J'me la r'mets dans la poche
Et je rentre titubant.
Mais un jour j'echangerai
Cette bonne et vieille branlette
Contre la jolie raie
Du p'tit cul d'une nymphette.
D'ici là j'ai le temps ;
Actif comme un vieil âne,
J'suis devant mon écran
Et j'matte Clara Morgane.
Ode à ma muse
Tu sais me faire hurler,
des heures durant, de rire
Tu sais me faire suer
Quand je veux t'retenir
Tu sais me faire rougir
Quand ton apparition,
Au sortir d'un soupir
M'fait passer pour un con.
Tu sais m'mettre mal à l'aise
Quand tu te manifestes
Juste pendant que je baise ;
Mais qu'est-ce que tu empestes!
Ce poeme est pour toi,
Mon prout, ma perle, mon vent,
Mon compagnon de joie
File voir le nez des gens.
Quand dans une explosion
Tu manifestes à tous
Ton pouvoir d'persuasion
Tu grandis quand je pousse.
Naissance d'une passion
Ne sachant plus que faire,
Ne sachant plus que dire,
Toujours je m'en refere
A mes ultimes desirs.
Si maintenant j'ecris
Sur mon vide interieur,
Quelquechose a pourri
Tout au fond de mon coeur.
J'etais jeune plein de reves
Debordant d'optimisme
Mais aujourd'hui je creve,
Happé par mon seisme.
Et tout ce qu'il me reste,
C'est mon envie d'ecrire
Que rongé par la peste,
Je m'apprete a mourir.
Imbibé d'illusions
Que j'ai trop voulu croire,
J'ai eu la solution :
Je me suis mis a boire.
Je déménage
Chez moi y'a des cartons
Pas ouverts d'puis cinq ans,
Remplis d'pleins d'trucs cons
Et de cours d'y a longtemps.
Mais bientôt j'vais partir
Pour des coins plus sympas
Et n'jamais revenir
Dans un endroit comme ça.
Je deballerai mes caisses,
J'en chasserai les cafards,
Celebrant ma grand messe
Dans mon nouveau foutoir.
J'aurai d'la place pour vivre,
D'l'espace pour respirer,
Un endroit quand j'suis ivre,
Voire même un pour baiser.
Reste à trouver l'argent
Pour me payer tout ça
Alors j'appelle maman
Ou j'écris à papa.
Je m'épanouis
En amour j'ai pas de chance ;
J'ai la main toute usée,
J'aurais du quand j'y pense
Un peu plus assurer.
Mais j'n'arrive à lever
Que quand j'ai beaucoup bu,
J'suis vraiment un mauvais
Et d'aucun disent que j'pue.
Dès que j'tente une approche
Elles partent en courant :
J'me la r'mets dans la poche
Et je rentre titubant.
Mais un jour j'echangerai
Cette bonne et vieille branlette
Contre la jolie raie
Du p'tit cul d'une nymphette.
D'ici là j'ai le temps ;
Actif comme un vieil âne,
J'suis devant mon écran
Et j'matte Clara Morgane.
Ode à ma muse
Tu sais me faire hurler,
des heures durant, de rire
Tu sais me faire suer
Quand je veux t'retenir
Tu sais me faire rougir
Quand ton apparition,
Au sortir d'un soupir
M'fait passer pour un con.
Tu sais m'mettre mal à l'aise
Quand tu te manifestes
Juste pendant que je baise ;
Mais qu'est-ce que tu empestes!
Ce poeme est pour toi,
Mon prout, ma perle, mon vent,
Mon compagnon de joie
File voir le nez des gens.
Quand dans une explosion
Tu manifestes à tous
Ton pouvoir d'persuasion
Tu grandis quand je pousse.
Naissance d'une passion
Ne sachant plus que faire,
Ne sachant plus que dire,
Toujours je m'en refere
A mes ultimes desirs.
Si maintenant j'ecris
Sur mon vide interieur,
Quelquechose a pourri
Tout au fond de mon coeur.
J'etais jeune plein de reves
Debordant d'optimisme
Mais aujourd'hui je creve,
Happé par mon seisme.
Et tout ce qu'il me reste,
C'est mon envie d'ecrire
Que rongé par la peste,
Je m'apprete a mourir.
Imbibé d'illusions
Que j'ai trop voulu croire,
J'ai eu la solution :
Je me suis mis a boire.
Ecrit par opentocard, le Samedi 8 Mai 2004, 01:52 dans la rubrique "leche le crapaud!".
Commentaires :
Re: ma réponse du connard au cafard sensible
cimer polak enfin une lumiere dans cette obscurantisme numerique!
6 U soune
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ma réponse du connard au cafard sensible
Pigeon,
Oiseau à la gise robe
Dans l'enfer des villes
A mon regard tu te dérobes
Tu es vraiment le plus agile
ca c du vécu mec, pas comme tes histoires de pitoyable clowbn triste..